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Géraldine: Au bal masqué

Auteur: François Lachapelle
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Géraldine: Au bal masqué

Celle qui s’est produite avec les Cagoules Duguay, les Velveeta Franklin, les Gym Corcoran et les Pratiques Watson ne vous demandera pas aujourd’hui de lui lancer le sapin, puisque c’est son tour de lancer. Un disque, pas un sapin. Si vous ne comprenez absolument rien aux premières phrases de ce texte, bienvenue dans l’univers de Géraldine!

Active sur différentes scènes depuis 2007, Géraldine dit avoir commencé à faire de la musique un peu par hasard. Épaulée par son collègue / complice / réalisateur / ex-colocataire Navet Confit, avec qui elle signe les paroles et musiques de l’album, la chansonnière grunge très éclectique a rassemblé une dizaine de pièces (certaines déjà parues ici et là) pour former son premier album: Sold-out capitalisme, disponible le 23 novembre. Est-ce que j’ai mentionné qu’elle faisait tout ça en portant une cagoule? Ben voilà, c’est fait. Devenue porte-étendard du port de la cagoule, Géraldine décline le top cinq des (bonnes) raisons de porter cet accessoire:

 

1 Pour chasser l’ennui, comme on chasse l’orignal, quand il pleut, quand il fait frette,
quand le monde nous semble insignifiant et qu’on se demande pourquoi le but ultime de la vie serait d’être heureux alors que, finalement, on va tous mourir.

2 Pour passer incognito à la pharmacie et dans les soirées branchées.

3 Pour être prise au sérieux quand on a une petite voix.

4 Pour se faire photographier en bikini sans se mettre la population féminine à dos.

5 Pour passer devant dans les files d’attente.

 

 

Géraldine, en spectacle le 26 novembre
Café Cléopâtre: 1230, St-Laurent
Heure: De 17h à 20h (concert à 18h)
myspace.com/geraldineestfolle