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15 restos à redécouvrir pour charmer tes papilles gustatives
Crédit: Christine Plante & Sophie Ginoux
Nos critiqueuses ont fait une super job l'an dernier pour vous dénicher les meilleurs restos en ville! Nous avons donc, spécialement pour vous, ressorti une quinzaine de critiques pour vous aider à mieux vous diriger dans vos quêtes alimentaires. Tous plus alléchants les uns que les autres, les plats que Sophie et Christine ont essayés sont loin d'être banals et vous inspireront certainement pour votre prochaine date.
 

1. Le Balsam Inn

Crédit photo: Sophie Ginoux
« Le menu du restaurant n’est pas à proprement parler boréal comme c’est le cas, par exemple, au Manitoba. Ici, c’est plutôt à la cuisine de brasserie française, italienne et américaine que l’on s’attarde. Avec une petite spécificité propre au Balsam Inn, à savoir un pain plat de type naan que l’on prépare et cuit directement sous nos yeux en salle dans un four à bois d’époque. Agréable à regarder, mais surtout à dévorer, car il est absolument délicieux. Personnellement, j’ai poussé le vice jusqu’à le plonger dans une succulente purée de haricots coco chaude, à la fois onctueuse, savoureuse et un brin craquante en surface. » Lire la critique complète.

2. La Brasserie Saint-Denis


Crédit photo: Paméla Lajeunesse

 
« Nous optons ainsi avec mon compagnon gourmand du jour pour plusieurs de ces nouveautés à prix très doux (5,95$ en format entrée, qui dit mieux?). Des bouchées de morue légèrement panées avec une mayonnaise au cari, des boulettes de bison honnêtes préparées dans une sauce BBQ à la bière IPA, et d’étonnants (mais bons) cornichons marinés, tranchés et servis avec du fromage cottage. Notre fourchette revient néanmoins toujours à la poutine dont la sauce est faite de fond de veau maison déglacé à la bière belge Kwak – savourée d’ailleurs avec ce plat, un vrai délice! – et de saucisse de canard. Simple, savoureux et un brin addictif comme on aime. » Lire la critique complète.

3. Chez Jerry

Crédit photo: Sophie Ginoux
« LE deal à ne pas manquer est le Trio Jerry, qui changera au fil des semaines. Lors de ma visite, il s’agit tout d’abord d’un succulent grilled cheese toasté à souhait contenant du cheddar Perron bien coulant et accompagné de feuilles de roquette arrosées de balsamique. Second élément du trio, une généreuse poutine à Jerry avec des frites maison, une sauce au foie gras et aux champignons, ainsi que du fromage en grains de la Fromagerie Champêtre (gagnante du dernier pris Caseus pour ce produit). Bon, vous dîtes? Je confirme! Et ce n’est pas tout, car un délicieux biscuit géant au chocolat complète ce trio hautement désirable pour un total de… 12,50$! Oui, oui, vous avez bien lu. Je pense que c’est imbattable en terme de rapport qualité-prix dans le quartier. » Lire la critique complète.

4. Le Pinxto

Crédit photo : Sophie Ginoux
 
« Pour vraiment faire l’expérience du Pintxo, rien ne vaut un menu dégustation, pourquoi pas accompagné d’un des vins intéressants que propose l’établissement. J’opte donc pour des bulles rosées (un agréable cava rosé de la maison Raventos) et ce menu découverte, constitué ce soir-là de quatre pintxos et d’un plat de résistance. Un premier service rassemble trois grosses bouchées : une petite soupe délicate aux haricots blancs, un tartare de saumon bien équilibré, ainsi qu’un délicieux foie gras au torchon fondant et parfumé de piment d’Espelette servi tout simplement avec un croûton et des oignons confits. » Lire la critique complète.

5. Le Colonel Moutarde

Crédit photo: Paméla Lajeunesse
« Les plats sont servis avec des salades colorées, et bien qu’on ne soit très loin de la haute voltige gastronomique, des fois, le plaisir de la bouffe n'a pas besoin de grands fla-flas. Un peu comme un sac de jujubes ou un gros bol de chips au ketchup. Ici, le plaisir, c'est cette ambiance de jeu qui ne se prend pas au sérieux.Grilled cheese sur mesure. Chili à la Guiness. Pizzas à l’indienne ou à la Slave (purée de betteraves, légumes, parmesan et pacanes). Le genre de plat qu’on peut manger d’une main en éclatant la gueule de son adversaire dans une partie de Risk particulièrement sanguinaire. » Lire la critique complète.

6. La Fabrique à boire

Crédit photo: Courtoisie de la Fabrique à boire
 
« La fête est le mot d’ordre ici. Et ça commence avec un accueil à la fois chaleureux et renseigné, ce que nous offre avec mon amie le barbu et à bretelles mixologue Étienne Bay, qui va tout au long de la soirée jouer de virtuosité pour nous préparer plusieurs cocktails vraiment excellents, de la sangria revisitée jusqu’à l’addictif butterscotch sour, une version revue du whisky sour avec de la liqueur maison aromatisée au bourbon, au caramel écossais et à la vanille. Sans oublier cette belle combinaison inusitée de liqueur de butterscotch, de liqueur de petits fruits et basilic, de purée de framboises, de jus de citron et d’une pincée de sucre. On adore. » Lire la critique complète.
7. Chez Ikanos

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Que connaît-on de la cuisine grecque, au fait ? La tzatzíki, l’huile d’olive, la fêta… Ce qu’il y a de plus répandu est souvent ce qu’il y a de plus cliché. Parlez-en à Constant Mentzas, chef de cuisine chez Ikanos. Si vous avez de la chance, vous aurez droit à la « tirade du yogourt grec », comme quoi ce qui se vend en épicerie est à des lieues de ce que l’on peut consommer au bord de la Méditerranée… Épaissi à l’agar-agar, parfumé chimiquement, non, ce n’est pas dans les petits pots de yogourt léger aux bleuets usinés que vous pourrez découvrir toutes les délicieuses subtilités de la cuisine grecque. » Lire la critique complète.
8. Petit Lapin Blanc

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Je troque donc mon cocktail contre un verre de vin de la carte, courte, mais composée de vins essentiellement d’importation privée, tout en reluquant les différents plats du menu monté par le chef Simon Touchette. Ce dernier s’est donné pour objectif de privilégier au maximum les produits du terroir québécois et d’encourager une vision écoresponsable de ce qu’il sert. Calmars, champignons, veau, fromages, légumes; tout vient d’ici ou presque. À commencer par le lapin, servi sous forme d’ailes glacées au Coq D’or, tendres et juteuses même si on s’en met plein les doigts. Mais qu’importe, l’ambiance bon enfant qui règne au Lapin Blanc nous fait oublier ce petit détail. » Lire la critique complète.
9. Foxy

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Une fois assise au bar – les réservations ne dérougissent pas depuis l’ouverture très récente du restaurant – je consulte le menu court proposé. L’approche est celle du partage, avec cinq entrées, trois plats flammés, des accompagnements à la carte, deux sortes de pains plats maison garnis, ainsi que des desserts. Avec mon compagnon du jour, nous optons tout d’abord pour l’entrée de ricotta maison, servie chaude dans un petit plat en fonte et préparée avec des amandes, des tomates cerise, des herbes et épices, et accompagnée d’un pain plat maison que l’on perce avec ses mains ou sa fourchette. Un plat à la texture fondante et aux saveurs bien liées, quoiqu’un peu trop salé. » Lire la critique complète.

10. Seasoned Dreams

Crédit photo: Page Facebook Seasoned Dreams
« J'ai aussi goûté à la poutine "nature" et je l'ai trouvée encore plus savoureuse. En fait tout le génie de cette beauté réside dans la sauce, sucrée, relevée, et parfumée de beaucoup d'arômes distincts, qui se juxtaposent sans entrer en guerre les uns avec les autres. Délicieuse. C'est donc dans sa plus simple expression que je vous recommande la fameuse fusion. » Lire la critique complète.

11. Chambre à part

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Derrière les fourneaux, Jean-Baptiste, qui ne peut pas se dédoubler puisqu’il est déjà aux commandes de La Fabrique, cosigne le menu avec Jérôme Rouault, gagnant de la cinquième édition des Chefs. Technicien hors pair adepte d’une cuisine qui respecte le produit, le terroir, la saison et la nature au sens large, ce normand d’origine a accepté de relever avec Jean-Baptiste le défi de faire une cuisine généreuse, mais en portion plus légère pour permettre aux clients d’avoir un bon rapport qualité-prix. Ce qui donne un menu à quatre mains des plus intéressants, avec une quinzaine de choix de petits plats et quatre desserts maison. » Lire la critique complète.

12. Le Gras Dur

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Devant moi, mon ami se régale littéralement avec son Das Burger, qui contient du schnitzel de poulet, du currywurst, du chou braisé (oui, le même que dans la poutine) et du fromage suisse. Quant à moi, je me laisse tenter par une des créations du jour, un rösti de pommes de terre parfaitement cuit et assaisonné trônant sur une réconfortante portion de porc effiloché qui a du caractère et une julienne de chou cru. Rien de léger encore une fois, mais une vraie réussite. » Lire la critique complète.

13. Das Bier

Crédit photo : Christine Plante
 
« On y sert une nourriture éclectique, originale et différente. Bien meilleure que dans la grande majorité des bars à hockey. J’y ai goûté des boules de canard. Des couilles frites à la viande effilochée, ça fait très « testostérone », parfait pour booster un match. Ensuite, la salade de pommes de terre est vraiment surprenante, avec son salami allemand qui relève l’affaire. Ça peut devenir lourd à la longue, alors je conseille de prendre ce plat en accompagnement. Finalement, un excellent bretzel. Perso, j’adore les bretzels et je trouve qu’il n’y en a pas assez de bons à Montréal. Ici, il a un bon goût de babeurre, un peu sucré et parfumé aux levures de la pâte agrémentée de gros sel. » Lire la critique complète.

 

14. JellyFish

Crédit photo: Sophie Ginoux
 
« Mais attention, le clou du repas suit avec un demi-poulet (attention, portion copieuse) farci au Boursin et au beurre de miso jaune. Que dire? Tout en finesse, l’enveloppe du poulet craquante se déchire pour faire place à une chair juteuse, admirablement hydratée par le jus de cuisson et le côté crémeux du fromage. Du bonheur pur et dur ! si en plus on laisse aller sa fourchette dans les accompagnements que nous avons choisis, dont une incroyable purée de pommes de terre ultrabeurrée comme on aime dans laquelle on a glissé des petits morceaux de homard et de bacon. Addictif, vraiment. » Lire la critique complète.

15. Chez TousignantCrédit photo: Sophie Ginoux

 
« C’est donc la salive au bord des lèvres que je commande un burger Tousignant, un hot-dog et des frites. Le premier, généreux, est composé d’une boulette de bœuf 100% naturelle, de belles tranches de tomates, d’oignons et de pickles, auxquels on a greffé du bacon bien grillé, du jambon à l’érable maison, du fromage jaune et de laitue iceberg. C’est tout d’abord le pain qui encadre le tout qui me surprend agréablement. De couleur presque jaune, il est tout simplement succulent. Mais il est admirablement accompagné par les autres ingrédients, juteux ou craquants, qui font de ce burger une vraie fête des sens. » Lire la critique complète.

Bon appétit!

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