Jeudi J’aime: la crème de la crème

Dans l'effervescence de la rentrée (scolaire comme culturelle), vous aurez probablement besoin d'un lieu ou d'un moment de douceur et de calme. Je suis votre homme. Enfin, votre femme. Votre dudette. J'arrive à la rescousse avec une sélection qui fait un peu changement du blanc froid et aveuglant du design scandinave et minimaliste: la couleur crème. Du lumineux, chaleureux, un camaïeu de calme. Juste pour vos yeux. Ne me remerciez pas. Passez au suivant!

1. Vous voyez ce que je veux dire par camaïeu de calme? (Arch Daily)

2. Oh que j'aime ces tapis. Je les aime tant. (Cold Picnic)

3. C'est la saison des soupes et des potages et voici une recette de soupe toscane aux haricots blancs, qui se décline en deux recettes. (The Clever Carrot)

4. Comment alimenter, enrichir un camaïeu de calme? En y ajoutant différentes textures naturelles comme le cuir, le bois ou la jute. Et avec beaucoup, beaucoup de lumière. (Planète Déco)

5. Parlant de textures naturelles, la collection Sinnerlig de la designer Ilse Crawford est arrivée chez IkEA! J'adore cette lampe à base en liège. (Ikea)

6. La déco du restaurant Gaspar, à Istanbul, pousse la note vers une harmonie plus sombre, plus riche et chaleureuse. Magnifique. (Restaurant & Bar Design Awards)

7. Côté mode, montrons tous notre majeur à la règle selon laquelle il ne faut plus porter de blanc passé la fête du travail. Come on. QUI est à l'origine de cette règle, qu'on le licencie du club du bon sens? Allons-y, continuons à porter nos jeans blancs et marions-les avec des accessoires crème, beige, camel. (Zara)

8. Cette veste en faux-sherpa ressemble à un nuage chaud. Et qui ne voudrait pas porter un nuage chaud tous les jours de sa vie? (Aritzia)

9. Et que dire de ce col de fourrure recyclé? Je voudrais le garder en permanence autour de mon cou et juste expliquer aux gens que non, non, c'est normal, c'est mon pelage d'hiver. (Lowell)

10. Pour terminer, en terme de musique, la première chanson qui m'est venue en tête en observant ma sélection plus haut est The Curse, de la merveilleuse Agnes Obel.