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Tame Impala, le rock qui te tient en vie pendant les festivals
Crédit: L’année dernière, je m’étais donné comme mandat de découvrir, avant le festival Osheaga, tous les bands du line-up dont je ne connaissais pas encore la musique. Gros mandat qui a du sens quand on y pense un peu. D'un, parce que tu es certain de ne pas regretter d’avoir manqué un artiste quelques mois après le festival et de deux, parce que pendant les shows tu es à même d’apprécier les chansons que tu connais (ce qui est selon moi, crucial dans un festival!).

L’année dernière, je m’étais donné comme mandat de découvrir, avant le festival Osheaga, tous les bands du line-up dont je ne connaissais pas encore la musique. Gros mandat qui a du sens quand on y pense un peu. D'un, parce que tu es certain de ne pas regretter d’avoir manqué un artiste quelques mois après le festival et de deux, parce que pendant les shows tu es à même d’apprécier les chansons que tu connais (ce qui est selon moi, crucial dans un festival!).

Ce fait est doublement valide à Osheaga quand ton fun est grandement mis à l’épreuve par ton mal de dos exponentiel, le troll qui te cache la vue, la chaleur qui te fait paranoïer sur ton niveau d’hydratation, ton envie de pisser sans fin et ton overall difficulté à vivre en public dans des conditions météo de fou (qui te font même demander quelle bulle au cerveau t’as pu avoir pour te mettre volontairement dans un état de misère pareil).

BREF, j’en viens ici au cœur du sujet: Tame Impala, un des bands que j’ai découvert en prévision du dimanche Oshéagien. Un groupe qui sonne comme s’il sortait tout droit de 1973, ce qui, ma foi, ne peut qu’être magique dans un festival de musique. Tame Impala, c’est le genre de groupe dont tu peux facilement offrir l'album en cadeau à ton père et ton frère et être certain que les deux vont aimer ça (true story). Leur son, très old rock, truffé de synthétiseur, est une valeur sûre dans le genre. Je dois donc ma vie en partie à Tame Impala, car ils ont su, avec la force de leurs guitares, me tenir en vie sur la colline- pas-d’ombre-au-violent-soleil, à Osheaga.

Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous conseille les tracks: Elephant, un classique instantané, Solitude is a Bliss, qui m’a fait découvrir le groupe (la vidéo de cette chanson est folle) :

et Desire Be Desire Go, qui te donne le goût de fumer du pot et faire de la moto dans l’espace avec Big Bird comme copilote (tu vois le genre ?).

Pour les chanceux qui ont des billets, le groupe nous visite lundi prochain au Métropolis, pour les autres, vous pouvez toujours vous référer à leur site web pour connaître les autres stops de leur tournée.

11 mars | Métropolis
59 rue Sainte-Catherine
Avec The Growl
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