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Victime de la porn: le point G existe!
Crédit: N’en déplaise à ceux qui prétendaient que le point G est une pure invention de l'industrie de la porn ou une fabulation de guidounes en manque d’attention, il existe bel et bien! C’est en tout cas ce que démontre l’excellent documentaire «À la recherche du point G», présenté par Raymond St-Pierre (aka Sex Bomb) sur tou.tv.

Ce qui m’a toujours fait halluciner avec le point G (à part la quantité de liquide), c’est de voir à quel point les débats concernant son existence sont très rarement scientifiques. On nous montre constamment les mêmes intervenants typés :

 – La madame qui prétend que ça n’existe pas (parce qu’elle n’y arrive pas).

 – La hardcore-féministe qui veut prouver qu’une femme cumshot aussi fort qu’un gars.

 – Le perv zélé qui veut y croire pour que sa chick jute loin comme Cytherea.

Des élans de wishful thinking par des gens qui aimeraient croire que la nature est équitable, romantique et en harmonie avec les principales religions existantes. Voyons donc! Juste en comparant les orgasmes entre les gars et les filles, on voit bien que c’est totalement injuste.

Orgasme de gars

 – Durée de 3 à 10 secondes

 – Suivi d’un break imposé (où t’es off pour un bout de temps).

Orgasme de fille

 – Durée de plus de 20 secondes

 – Aucun problème à en avoir pleiiiiin de suite.

Mais bon, n’en déplaise à ceux qui prétendaient que le point G est une pure invention de l'industrie de la porn ou une fabulation de guidounes en manque d’attention, il existe bel et bien! C’est en tout cas ce que démontre l’excellent documentaire « À la recherche du point G », présenté par Raymond St-Pierre (aka Sex Bomb) sur tou.tv.

(Désolé si ce n’est pas disponible pour les groupies hors Canada.)

On y apprend une TONNE d'infos intéressantes, mais le gros dénouement survient lorsque (alerte aux spoilers) un docteur nous explique le détail qu’il nous manquait : le clitoris est en fait un organe qui va beaucoup plus loin que ce qu’il en paraît. Quand j’ai vu l’image de tout ça, je me suis levé de ma chaise, j’ai élancé mes bras vers le ciel, et j’ai crié « Pourquoiiiiiiiiii!? »

Voulez-vous bien me dire pourquoi personne n’avait remarqué ça auparavant? C’est quand même crissement élémentaire, non? (Juste avec ce petit vidéo, on pouvait déjà déduire tout ça, il me semble.) Sûrement que tous les docteurs compétents étaient trop occupés. Il ne restait que les semi-attardés avec un diplôme louche qui ont préféré opter pour des théories pertinentes comme « Bah, ça doit être de la pisse! »

Au moins, ça met fin au débat. Tous ceux qui criaient que c’était fake vont sûrement se sentir un peu stupides. (Et peut-être même assumer leur jalousie.) C’est fou ce qu’on peut dire par insécurité.

« Je suis incapable d’orgasmer du G-spot donc c’est peut-être de nier son existence. Ça va sûrement sauver mon couple. » C’est peut-être la blonde du gars qui a essayé de dire que la grosseur du pénis ne compte pas.

Maintenant qu’on sait que le point G existe, il n’en fallait pas plus pour offrir des options comme… le G-Shot! On le voit aussi dans le docu, le G-Shot consiste à se faire shooter du collagène (par un docteur creepy) à l’endroit stratégique afin de booster son point G. La madame avait l’air super satisfaite. Elle n’est pas encore débarquée de la table d’opération et tu le vois qu’elle a envie de se doigter.

On nous montre aussi une fille exceptionnelle qui arrive à avoir des orgasmes seulement avec la pensée. En se touchant zéro, elle obtient sept orgasmes en dix minutes! Sept orgasmes en dix minutes et la fille est strappée dans une grosse machine au milieu d’un labo frette! Elle s’imagine quelques images cochonnes pis boom! (En fait, c’est plus : boo-boo-boo-boo-boo-boo-boo-boom!)

Comme quoi, si tu souhaitais être la fille la plus orgasmique de la planète, t’es mieux de faire ton deuil. Même chose si t’es un gars qui voulait être indispensable avec ta super queue spéciale. Maintenant, essaies don’ d’avoir du fun.