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Le Détesteur: le top 10 des articles de l’année 2012
Crédit: 2012 est déjà finie, wow. La première fois qu'on m'a parlé de cette possible fin du monde, je sortais à peine du secondaire, pis ça fait une décennie, déjà. Quoi qu'il en soit, on ne peut pas dire que 2012 n'a pas su garder occupés les chroniqueurs d'opinion...
2012 est déjà finie, wow. La première fois qu'on m'a parlé de cette possible fin du monde, je sortais à peine du secondaire, pis ça fait une décennie, déjà. Quoi qu'il en soit, on ne peut pas dire que 2012 n'a pas su garder occupés les chroniqueurs d'opinion. Ce top 10 de mes chroniques révèle en grande partie ce qui a secoué le Québec dans la dernière année. Tu t'en rendras compte rapidement, j'ai participé activement dans le conflit étudiant au cours du printemps dernier. J'espère pouvoir te faire revivre et détester 2012, comme je l'ai détestée. D'ici 2013, je ne te souhaite pas du tout de joyeuses fêtes et je te déteste.
 
10. Le Détesteur: pour que la ville de Québec arrive au 21e siècle

Je devais écrire ce texte la semaine passée, mais je jugeais plus important d'écrire sur LéoBB. C'est qu'en fait, des lecteurs réguliers de Québec, également animateurs du Show du matin week-end à Radio X (Élodie et Well, que j'aime bien), ont riposté en ondes à un de mes statuts Facebook qui se moquait du Festival d'été de Québec. Leur discussion a finalement débouché vers une question fondamentale: pourquoi la rivalité entre Montréal et Québec?

 


9. Le(s) Détesteur(s), suite et fin: Schwartz's, Occupation Double et l'intimidation

 Mon premier billet sur NIGHTLIFE.CA en 2012 et le troisième et dernier de ma revue de détestage de fin d'année 2011. Trente invités se sont prêtés au jeu du Détesteur pour l'année qui vient de se terminer. Je les remercie de leur précieuse contribution. Je vous invite également à lire la première et la deuxième partie.

 


8. Le Détesteur: lettre ouverte au gros porc croisé dans le train

Hey, salut dude. J'sais pas si tu me replaces, mais j'suis le gars, le seul, qui a osé prendre un banc en face de toi l'autre après-midi, sur l'heure de pointe, dans le train. Toutes les places étaient prises, sauf celle-là. Les gens ont préféré opter pour un mal de dos, à la verticale, sur leurs deux pieds, plutôt que de t'avoir en face d'eux, dans le confort d'un banc habituellement si convoité.

 


7.Le Détesteur: le carré vert est le nouveau Ed Hardy

 Salut, les verts et vos sympathisants.
Dans cette lettre ouverte, je m'adresse à une forte majorité d'entre vous. Les apolitiques. Vous devez tout d'abord savoir que juste avant que les étudiants tombent en grève générale illimitée, il y avait déjà, dans le domaine des communications, un vent de politisation dans lequel les gens se découvraient davantage à gauche qu'ils ne le croyaient. Plus que jamais, on frappait sur Éric Duhaime, Mathieu Bock-Côté, Stéphane Gendron ou Richard Martineau. On le faisait entre nous, sans explication, comme une évidence, en s'assurant de bien éclabousser leurs lecteurs respectifs du même coup (c'est-à-dire, possiblement vous


6. Le Détesteur: Instagram, une liste des choses à éviter pour être intéressant

Instagram a changé mon quotidien. Pas forcément à cause des effets vintage, mais en majeure partie parce qu'il m'accompagne partout et par-dessus tout; il a su m'offrir une communauté active prête à partager des clichés à tout moment. Toutefois, y'a des récurrences qui peuvent rendre certains utilisateurs moins intéressants que d'autres, c'est donc pourquoi je t'ai concocté une liste des trucs à éviter pour être intéressant sur Instagram.


5. Le Détesteur: nuire à quelque chose d'important

Visiblement, le débat sur la hausse des frais de scolarité dépasse les connaissances de beaucoup de monde. Moi compris, à un certain niveau, je l'avoue humblement; quand on me parle de chiffres, de dettes de l'État, j'ai d'la misère à suivre, mais j'y travaille. Par contre, j'crois que si on ne dispose pas suffisamment d'information pour débattre convenablement, on devrait faire comme on l'a fait avec la pollution atmosphérique. On (les non-idiots) a arrêté de jeter nos déchets par terre au cas où les experts auraient raison de nous répéter sans cesse que la Terre est malade. Pis en prime, on salit moins l'environnement qui nous entoure.


4. Le Détesteur: le cas Léo Bureau-Blouin ou pourquoi les adultes me déçoivent

Jeudi dernier, le journal Métro publiait la lettre ouverte d'une lectrice, adressée à Léo Bureau-Blouin. Dans celle-ci, la dame, sur un ton infantilisant, expliquait à Léo que bien qu'il soit intelligent et plein d'audace, il aurait mieux fait d'attendre quelques années avant de se lancer en politique, histoire d'aller apprendre la vie un peu.
 


3. Le détesteur: Jacques Villeneuve, les menaces de mort et les mensonges

 J'avais peut-être 18 ans quand c'est arrivé. Je devais performer musicalement sur scène, mais j'ai dû me désister. Ma démarche artistique se voulait controversée pour l'époque et on ne me voulait pas dans cette salle-là précisément. On m'avait menacé pis j'ai choké. Menaces bénignes, rien de trop grave, du genre: «J'vais t'lancer des tomates pis j'te manquerai pas mon tabarnack». J'avais pourtant imaginé le pire, j'ai eu peur pis j'ai tout annulé.

 


2. Le Détesteur: la grève met le spotlight sur les pires idiots du web

Depuis quelques semaines j'vous vois partager toutes les chroniques, vidéos et montages de photos qui pourraient discréditer l'étudiant qui manifeste actuellement dans la rue; vous le faites sans scrupule, lui rentrez dedans, espérez qu'il en mange une tabarnack pendant qu'il crie «À qui la rue? À nous la rue!». Vous relayez absolument tout, sans filtrer. Approbation systématique. Vous en avez fait VOTRE COMBAT.
 


1. Le Détesteur: as-tu vu la vidéo? Moi oui.

  As-tu vu la vidéo? Bin oui. Je l'ai vue. Cette vidéo dont l'appellation est réduite à «la vidéo», au même titre que les mouchoirs sont désormais Kleenex. Nul besoin de la décrire, on sait de quoi je parle. Cette semaine et pour celles à venir, «la vidéo» est dorénavant celle, et aucune autre, où l'on peut voir une victime se faire lacérer, nécro-fourrer et fesse-déguster dans une sordide scène tournée à Montréal.

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